Dans la série : Premier festival du Court Métrage ydéen

le journal du festival nº2

30 Mars An I PSD — Ysabelle Gyordano

Le Journal du Cinéma est un journal consacré au Cinéma ydéen et international.

Au sommaire de ce numéro :


Le festival bat son plein, par Ysabelle Gyordano

Ysabelle Gyoradno, ancienne Gyrl des Deux Magoh a prys la rédactyon en chef du Journal du cinéma, selon le principe de la promotyon canapé. Selon le directeur de publicatyon, Anaclet de Paxatagore, "elle suce particulièrement bien, la salope". Mays ce sont des racontars.

Le festival organysé par Anaclet de Paxatagore aux Deux Ma-Goh bat son plein. Plusieurs films ont déjà été présentés. Citons, dans l'ordre : Gladiator II le Retour, (15 mars), une comédie surréalyste de Lanzo del Vasta ; Comptine : une vieille hystoire yssoise, (16 mars), une rêverie poétique de Lool de Virion, qui annonce son film culte ; Le Parrain, (17 mars), un must du film noir ydéen, par Clem Yeats ; Pruneaux électroniques ou Gulp Fiction, (20 mars), la spectactulaire réalysation d'Emmanuel Raveline, remake d'un film de Quentin Tarrentino ; Gladiator, (23 et 26 mars), sans conteste le film phare de ce festival, le film culte des inconditionnels de Lool de Virion, le meilleur péplum de l'année ; Il y a une c.... dans le potage, (27 mars) un film noir et poétique, d'un réalysateur qui se fera probablement un nom, Théophraste de Mytilène.

Et déjà, on peut se rysquer à quelques pronostics. Cependant, tous les films ne sont pas encore passés. On attend notamment la suite du Grand Bleu, le film biologique d'Anaclet de Paxatagore et Le Jour d'Eléonore, un film de Maria Ottoson et Krystof de Parys.

Selon nous, la Palme d'Or ira à Lool de Virion pour Gladiator. Ce film est celui qui a le plus d'ambition, qui secoue le plus les tripes. Ces répliques deviendront bien vite fameuses, et il probable que ce sera LE film de ce festival. En effet, Gladiator pourrait être primé dans d'autres sections : Anaclet de Paxatagore, pour son rôle de Paxatagorius ; Zoé Tinuviel pour le Général Tinuvielus, ou encore le prix du meilleur scénario ou celui du meilleur réalysteur. On parle également de Lanzo del Vasta, pour son rôle dans le Parrain, ou de Bilou Gro$ou, pour son apparition éclair mays foudroyante dans Il u a une c... dans le potage. Renatus Kayser pourrait également être primé, grâce à son rôle fameux dans Gulp Fyction.

Réponse début may...

Ysabelle Gyordano


Critique cynéastique : défynytion du Court métrage, par Stanleys Kubrys

Stanley Kubrys, professeur de cinéma à l'Université de Nautia, appartient au courant structuralyste. Il a bien voulu nous confier ici ses analyses (2ème partie). Résumé de la précédente partie : le professeur a défini la notyion de court-métrage et a commencé à explorer quelques hypothèses de réflexions..

Nous avions évoqué dans notre précédente livrayson structurée en co-structure articulée l'hypothèse Le Roturier selon laquelle le court-métrage serait au cinéma ce que l'éjaculatyon précoce est au sexe.
Voyions maintenant une seconde hypothèse : cette hypothèse structuralipote postule que le court métrage serait au cinéma ce que la fellation serait au sexe. Cette hypothèse, dite d'Aspasye la suceuse (du nom d'une féllatryce félinienne encencée par la critique au début des années 1960, notamment pour son rôle dans Je suce et je t'emmerde, un film pornographique qui apparaît aujourd'hui bien vulgaire), a été développée avec beaucoup trop de bruits, à mon sens, par Robert Ludlum, un romancier qui aurait mieux fait de rester à ses romans plutôt que d'avancer une théorie aussi fumeuse.

En effet, qu'est-ce, structurellement parlant, qu'une fellation ? On peut reprendre la définityon fameuse donnée par Cornet de Glace, lors d'une conférence à Fullton en 1946, où il expliquait que la fellatyon était l'acte structurant par lequel l'appropryation structurelle de la virilité conduysait implicitement, nécessairement, (mais malheureusement pas toujours, a-t-on découvert, désabusé, un peu plus tard) à la rencontre fusionnelle entre la structure structurante matricielle de base (c'est-à-dire le sperme) avec la matrice déstructuralipodistesque (c'est-à-dire la bouche), étant spécifié que le sujet est nécessairement un homme, et l'acteur étant soit un homme, soit une femme (il exyste des variantes des plus destructurées, dont nous ne parlerons pas ici, pour des raysons évidentes de manque de conformysme : de nos jours, il semble devenu du dernier cry d'être pédophile, nous nous y refusons !).

Or, on constate très nettement et simplement qu'entre cette rencontre fusionnelle et non structuralisante (puysque non fécondante par hypothèse, sauf glissement de terrain particulièrement scabreux, mays c'est une hypothèse à creuser, si j'ose m'exprimer ainsi), et la théorie d'Aspasye la Suceuse, il y a un trou béant, si béant même qu'on hésite même à le qualifier de vaginal : noir, serait plus adapté, tellement ce trou béant absorbe nos pensées.

Stanleys Kubrys


Courrier des lecteurs

M. l'abbé Pryape, de Mabite-Hémolle (Oyse), nous écrit : l'étudiant farceur qui signe ses playsanteries Stanley Kubrys est un satyre révoltant. Les abbés aussy ont le droit à avoir à une sexualité ! Nous n'avons pas tellement saysi le rapport avec les propos de M. Kubrys, mays nous publions...

M. Anaclet de P., New Balnéa, nous écrit : je confirme, Ysabelle Giordano est une sacrée suceuse !

M. Théophraste de M., New Balnéa, nous écrit : Y en a marre de ce journal, y en a que pour Paxa !
P.S. : c'est vrai ? tu me la prêterays pour voir ?

M. Anaclet de P., New Balnéa, nous répond : Tu n'as qu'à te payer un journal !
P.S. : quand tu veux, passe donc prendre le thé à la mayson un de ces jours.

Ma mère supérieure Amenmonfys, du couvent des Oyseaux, nous écrit : j'aime beaucoup les analyses de M. Kubrys. Structurellement, elles sont décapantes !

Clem Y., de New Balnéa, nous écrit : Continuez ainsi !

Ysabelle G., de New Balnéa, nous écrit : mwi, je veux bien, mais il faut que je me rince la bouche de temps en temps !!!!