publié à l'Institut Impérial d'Hystoire et d'Archéologie d'Hystoire virtuelle
Résumé : Suite des mes burlesques aventures de l'été 2001...
JOUR 20 :
Et bien, nous voilà sur le départ, direction "Brooks Sel" et la "Béleugique" !
JOUR 21 :
Contrairement aux informations recueillies en "France", les Béleugiens sont assez loin d'être des analphabètes stupides (se renseigner sur les relations diplomatiques entre les deux pays). Nous avons accosté à "l'envers"... malgré des recherches poussées et le questionnement des serf du cru, ils nous a été impossible de trouver "l'endroit", je suppose qu'il s'agit d'une tactique mylitaire locale visant à troubler l'adversaire débarquant ! Un pécheur locale auprès duquel je me renseigne sur les relations diplomatiques de la région me fait remarquer une erreur dans mes informations... le dernier empereur franços ne se nommait pas Léon Napo, mais bien Léon Nabo (surnom donné, d'après mon informateur, car il était petit et hargneux). J'en ai d'ailleurs appris de belle sur lui, il semblerai que ce fut un grand homme (malgré sa taille) j'en veux la preuve que sa plus grande victoire restée dans l'hystoire concerne la séduction d'une femme peu ouverte aux plaisirs surnommée "l'austère Lyse". NOTA : Le peuple béleugien est pragmatique et ne supporte pas d'avoir à se répéter, mays la courtoisie naturelle du béleugien (et de la béleugienne) l'oblige à affectueusement avertir son interlocuteur en lui signalant que l'information lui sera donné "une fois !".
Milieu d'après midi, nous dînons du plat locale dénommé "frriitttes" (orthographe non certifié) nous arrivons ensuite à "Bruxelle" (comme les choux, et oui beark !), capytale du pays. De longues investigations nous ont mené, Archy et moi, à la conclusion qu'en plus de tout le reste, les béleugiens sont profondément religieux (presque fanatiques) et versés dans le mystère. Me retrouvant devant un lieu de culte ou de multiples offrandes en monnaie sont faites à une divinité, j'interroge une passante en lui demandant le nom du dieu qui ici est révéré... la femme (fort jolie au demeurant) reste un instant coite avant de me donner ce qui semble être une formulation mystico-religieuse :"Le Mac En Pisse". Je reste dubitatif lorsque je me souvient que certayns habitants ont un accent que même un Krassieulandays d'envierai pas... "le Mac" voulait sûrement signifier "le Mec"... soit l'énigme était "Le Mec En Pisse" se référant sûrement à la petite statuette qui ornait le haut du bassin aux offrandes... il s'agissait sans aucun doute possible d'un temple dédié aux forces naturelles aquatiques (une personnification de Poséydon ? NOTA : demander à l'Archymandrite ou à un de ses sbires au retour !).
Nous quittons (à regret) la "Béleugique" et ses insondables mystères religieux pour nous diriger vers la "Haut Lande" où, dis-t-on je pourrais me procurer un palliatif de l'opium (qui me manque un peu).
JOUR 22 :
Nous sommes en "Haut Lande". C'est à peine croyable comme les Haut landais sont ibus de leur personne... leur pays n'a absolument rien de haut... au contraire, il est plat comme une lymande sèche et heureusement qu'ils ont construit des dygues, sinon ils seraient innondés tous les jours ! Partout où l'on regarde, on voit des tulypes et encore des tulypes et toujours des tulypes... il s'agit sans doute là d'un système de défense original, le corps expéditionnaire tombant de champ de tulype en champ de tulype doit s'imaginer qu'il tourne en rond et rentrer chez lui ! Nous nous fournissons en opium locale dans une ville nommée "Ame Stère Dame" (sans doute un jeu de mot locale intraduisible). La substance obtenue est d'une qualité exécrable et à bousiller ma plus belle pipe à opium. Frustrés, nous quittons le pays pour diriger nos pas vers l'"Ale Magne" où les Ale Magnois semblent assez austère...
Suites données à cette étude
Note : 23
Jugement : Toujours aussi génial