Traductyon des second et troisième manuscrits

20 Juyn An II PSD — Fenelis Pitard-Aaron

publié à l'Institut Impérial d'Hystoire et d'Archéologie d'Hystoire virtuelle

Résumé : L'hystoire d'une découverte ...


Cette traductyon confirme un doute qui m’était apparut, lors de la découverte du navire : L’Hystoire donne aux espagnols du XVème siècle l’inventyon des gallions, et vous comprendrez ma surpryse, quand la découverte nous apporte la preuve que nos Ancêtres ont pu inventer un modèle proche de ce navire, quelques 1500 années auparavant. Et cette hypothèse est confirmée par la traductyon des second et troisième manuscrits trouvés à bord de « la Lystanys », qui relatent la guerre marine des îles Princypes, îles aujourd’hui disparues, qui opposa l’armée romaine à la Nuée, l’armée atlante des îles, venue en soutien de la flotte égyptyenne du Roi Ptolémée VI Philométor, vers le Ie siècle avant notre ère. Le récyt tenu par l’intendant du navire raconte cela : Les navires, rassemblés par centaine, approchaient lentement de la côte Nord de l’île Allyah Marmouth. Nous avions jeté sur la mer une grande corde sur laquelle étaient accrochés des lances et des piques. Les trirèmes avançaient lentement, très lentement. La capiataine de la Lystanys ordonna, sur les ordres du Grand Amìrane, de faire avancer rapidement nos Velions ( Galions ) juqu’à la cordes. La légèreté de nos navires nous permit d’arriver à hauteur de corde, bien avant les trirèmes romains. Ceux-ci progressaient avec mal, et nous entendions, sans peine les cris des rameurs, qui sous la douleur des fouets, layssaient parfois tomber leur rames. Déjà, des traits criblait le ciel. Sieur Grarys ordonna que l’on baysse les voiles, pour qu’elles ne soient trouées. Des exclamatyons traversaient le navire, car sans voiles, les Velions n’vancent pas au contraire des Trirèmes. Les flêches, jusque là trop lointaines, se mirent à parvenir jusqu’à quelques mètres de l’avant du navire. Un dard vint frapper un de nos archers en pleine épaule. Le signal du tir fut donné, et les dix Velions de la Nuée se mirent à tirer des centaines de flêches sur l’adversaire. Celui-ci continuait d’avancait, et la corde n’était pas loin. Le courant de la mer nous était favorable, et nous ramenait vers le port de Benna Marmouth. Un navire atteint la corde, et un sinistre craquement s’en suivi. L’avant du bâteau fut déchiqueté par la crassyale (nom donné à la corde) qui, alors que le navire, emporté dans son élan, continuait d’avancer. Une cinquantaine d’homme sauta par dessus bord. En quelques minutes, le navire était au fond de l’eau. Les autres navires s’arrêtèrent, et toutes les flêches de nos archers atteignirent leur but. Les romains tombaient tous. Un Centurion leva alors un drapeau, et les tirs cessèrent. Le Grand Amìrane, Glisah Snah, nous reçut dans son palays, et sur demande du Roi d’Egypte, nous offrit des amphores remplies de lait d’ânesses et de chamelles. La guerre des îles principes se terminait sous un jour triomphateur, avec le grâce de la victoire atlante lors de la bataille d’Allyah Marmouth.


Suites données à cette étude

Note : 3
Jugement : Ce manuscrit est un faux grossier et vous vous êtes layssés abuser !