Débats sur l’économie

11 Févryer An IV PSD — Fabyus Tremblay

Un vue globale et mes modestes contrutions
Dimanche premier février, je veux frapper un grand coup en publiant la thèse suivante :

"Pour une économie saine et cohérente.

Introduction

Notre économie est malsaine. Elle se fonde sur la création continuelle d’argent pour payer les salaires, c’est le modèle de l’inflation permanente. Elle retire en fait toute valeur à l’argent, et donc toute utilité. Le gourou du jeu Anaclet de P. m’a fait valoir son attachement à ce système car, selon lui, l’économie ne doit pas être quelque chose d’important, elle doit être là pour décorer (enfin, je pense qu’ainsi est son opinion. Il peut corriger.) Pour ma part, en tant que gourou de la faculté d’économie, titre obtenu après des mois de luttes, de complots, d’intrigues, et un peu de travaux sur l’économie aussi, je proteste énergiquement contre cette vision je-m’en-foutiste de l’économie et de l’argent, parce que sinon à quoi ça sert d’étudier l’économie dans une faculté, hein, et il faudrait mettre un peu d’ordre dans ce bourbier marécageux qu’est l’économie où l’eau est l’argent, et où il pleut tout le temps, on est pas là pour rigoler non mais. Si l’argent ne sert à rien, autant le supprimer, et de là, de nombreux pans de Clyo. Cette étude s’appuie en partie sur les réflexions sur l’économie des représentants du Krassland et de Nautia qu’on peut trouver dans les archyves yssoises, qui en ont assez écrit pour définir le rôle d’un économie virtuelle, je n’en rajouterai pas beaucoup à ce sujet. De même, on peut consulter l’intéressante étude de Nykolaos d’ Ophiccius, "De la gestion de flux monétaires...", qui lui aussi a proposé une réforme et dont les idées sur le système actuel recoupent une bonne partie de celles que je vais présenter, avec un autre point de vue toutefois. Mais M. d’Ophiccius proposait de supprimer les salaires systématiques pour que chacun aille chercher son pain, méthode un peu trop radicale ; et aujourd’hui ce n’est plus nécessaire avec le marché des denrées perrisables car l’on supprimera les citoyens inactifs. Ce qui est proposé yci est une nouvelle organisation de l’économie d’Ys.

Premiers chiffres

Notre PIB est, début 2004, d’environ 2 800 000 Yris, dont une grande partie à l’Etat. En effet, un jour les employés préposés à la fabrication de billets se sont endormis alors que les machines tournaient au maximum, et c’est ainsi que l’Etat se trouve actuellement avec une fortune de 2 100 000 Y€ . Cela fait une moyenne (très approximative) de 28 000 Y€ par citoyen, et 7 000 en enlevant la part de l’Etat. On appelera "fortune" d’un personnage la totalité de l’argent détenu par ce citoyen sur ses comptes courants, pour ceux qui en ont plusieurs, il faudra les regrouper sur un seul compte. Il existe un impôt ridicule, inférieur à 4%, que l’on négligera.

Critiques du système actuel

On ne saurait se complaire à se retrouver avec une quantité de billets telles qu’ils ne vaudront plus rien et dont on aurait plus rien à faire, à l’instar des enfants Goths de la République de Veinards qui fabriquaient des cerf-volants avec, dont les images célèbres devraient être ancrées dans notre culture commune. L’argent, créé en permanence pour payer tout le monde, ne vaut plus rien, et ce sont les points d’yssité qui sont seuls l’objet de quelque concurrence. On pourrait déterminer la valeur de ces point en en vendant aux enchères, demandant sur la liste aux citoyens combien voudrait-ils payer pour acheter 10 points, par exemple (expérience à tenter). Je ne m’appesantirais pas plus sur une critique du système actuel car il en a assez été dit sur le sujet, et j’ai déjà montré sur la liste l’impossibilité de motiver les citoyens, même avec de grandes quantités d’argent.

Propositions

L’argent, si il a une valeur, pourra être source d’émulation des citoyens pour qu’ils participent plus à la vie yssoise. Plutôt que d’attendre la paye tomber chaque mois, et ne rien en faire, les citoyens voudront acquérir de l’argent s’il prend de la valeur. Pour cela, la première chose à faire est de supprimer l’inflation permanente. Les citoyens fournissant un important travail universitaire, une animation sur la place publique ou autre activité doivent être encouragés. Si l’on ne le fait qu’avec des planches de billets ayant la aleur de cerfs-volant, on n’y arrivera pas. De même, les entreprises dynamiques telle la Radada’s Unlimited devraient être fortement encouragées.

Comment organiser une économie régulée où l’argent ne serait pas abondant, où l’état paye tout le monde et ne serait pas rapidement à sec ? Pour faire une analogie entre l’économie et la mécanique des fluides, on peut représenter l’Etat comme étant un gros réservoir et bien rempli, et un autre réservoir, plus petit, plus bas, que sont les comptes des citoyens et entreprises. L’eau s’écoule naturellement de l’état vers les citoyens (salaires), mais pour ne pas que le grand réservoir ne se vide complétement, sans création ex-nihilo d’eau (fonctionnement de la planche à billets), il s’agit de créer un flux contraire, du réservoir bas au haut, en mettant une pompe. Cette pompe, ce peut être l’impôt. La croissance économique se ferait d’autre part avec l’accroissement de salaires,et correspondrait réellement à une création de valeur (travail des joueurs, sanctionnés par l’agence du travail, et arrivée de nouveau joueurs. Les thèses citées au début de cet article insiste sur le fait que la richesse d’un nation virtuelle, ce sont surtout ses joueurs. Il s’agit d’adapter la richesse de l’économie à cette richesse humaine). En effet,si après avoir accompli un mission, son salaire augmente de disons 150 Y€, l’Etat aura le droit de créer cet argent pour le payer au tour suivant. Outre le prélèvement, il faut fixer une taxe sur les achats de biens sur les marché. À noter qu’on peut rendre parfaitement compatible la mise en place de cette taxe avec le marchés des denrée perrissable récements mis en place. Cela pose toutefois quelques problèmes de mesure de croissance, car en effet, plus gros sera le "stock d’argent" de l’Etat, plus l’acroissement absolu de la somme des augmation de salaire paraîtra faible et sera cette croissance en valeur relative. Mais qu’importe. De même, l’argent devra créer l’argent à l’arrivée d’un nouveau personnage pour lui donner son premier salaire, et, pour l’équilibre des comptes, faire disparaitre la quantité d’argentqui lui a été donné au départ ainsi que la somme correspondant à son salaire d’un mois si le personnage est supprimé. De plus, il faudra que le "réservoir" de l’état ne soit jamais à sec. Pour cela, on a le choix, soit de créer dès le début une grosse fortune (en fait, elle existe déjà), soit de trouver des mécanismes qui augmentent le débit de la "pompe" d’argent des citoyens vers l’Etat si celui-ci sent qu’il manque d’argent. Ce peut être la vente de point d’yssité (par exemple : celui qui donne 5% de sa fortune gagne un point d’Yssité, pour être remercier de contribuer au renflouement, de manière proportionnel à sa fortune), ou bien augmenter les impôts et taxes. Si l’on imagine que l’activité économique des citoyens tombe à zéro transaction, il faut que dans ce cas limite l’état recoive autant d’argent qu’il en distribue. En dernier recours, la création d’argent, mais c’est à éviter car il se peut que cela revienne à terme au principe de l’inflation permanente. En fait, il ne faudra jamais le faire.

Pour un impôt original

Il s’agit de prélever, comme du temps de Pseudopolis, une certain pourcentage des fortunes des individus et entreprises. On peut faire ce prélèvement systématique juste après le versement de salaire, il jouera en même temps le rôle d’impôt sur le revenu. Mais il me semble assez injuste que les pauvres payent la même proportion que les riches. Et cela n’est pas un bon frein à l’accumulation d’argent qui finirait par ruiner l’etat. C’est ainsi que je propose que celui qui est très pauvre, parce qu’il est nouveau ou qui a fait beaucoup marché l’économie en achetant des produits, ne paye quasiment rien par rapport à sa fortune (moins de 10%) Cela suppose aussi l’interdiction de multiplier les comptes, et surveiller les transactions frauduleuses vers des comptes de proches qui payent moins. Je ne pense pas qu’il faille augmente la limite des comptes d’épargne, épargnés par l’impôt. On pourra toujours emprunter à peu de frais à la banque de Venys. Comment faire pour payer une proportion toujours plus grande selon la fortune ? Et bien, c’est là que réside l’orginalité de l’impôt que je propose. Le citoyen possédant rien sur son compte courant payra 0% d’impôt de ce compte, et celui infiniment riche, disons 70% à chaque tour. D’autre part, il faut fixer un seuil, par exemple celui qui a 100 000 Y€ sur son compte doit donner 35% . On peut dire aussi que celui dont la fortune tend vers l’infini voit sa contribution tendre vers 70% de sa fortune. Bien sûr, on pourra faire varier ces trois valeur (70 ; 100 000 ; 35), qui sont la base du calcul,, ce sera l’objet de débats. Pour avoir un impôt progressif et original selon ces trois chiffres-critères, il suffit de dire que celui qui possède x Yris à la fin du tour devra payer : f(x)=(((70^(x/70000)+1)/2)^(1/(x/70000))-8.36)* x 0.01, formule utilisant la racine x-ième (la puissance 1/x) Une autre formule répondant aux critères est : f(x)= (1001.4arctan(x10000)/pi) * x * 0.01 fonction introduisant la fonction arctangent. comme on ne tombe pas sur des f(x) entier, il faudra arrondir f à l’entier inférieur. (Ces formules ont été élaborées après de très longues recherches) On remarque que c’est cette seconde formule qui tend le plus vite vers 70% de x. On doit reconnaître d’autre part que le 35% à 100000 Y€ n’est pas parfaitement respecté pour la première formule. Dans les deux formules, le premier facteur entre parenthèses représente la proportion (en %) de la fortune à donne au impôts, il suffit de multiplier par la fortune x pour avoir la valeur absolue de la contribution. Après le choix d’une de ces deux formule, il faudra la revoir car les impôts de ceux qui ont moins de 10000Y€ sont trop faibles, or beaucoup de gens sont plus proches d’avoir 10 000 que 100 000Y€. Il s’agit de modifier notament le seuil de 100 000Y€ pris pour cette exemple, en le remplaçant par 7000Y€, la moyenne des fortune des citoyens, et de choisir quel doit être le taux d’imposition pour la moyenne (25% ?) et pour les "infiniments riches". Pour revenir au problème de l’état qui peut se trouver à sec, l’augmentation des impots peut se faire en fonction de l’augmentation des fortune des citoyen, et que le système de l’impôt "doublement progressif" (augmentation de la contribution et du pourcentage par rapport à la fortune) n’est pas suffisant pour que le flux de l’etat vers les citoyens et son contraire soit équilobrés et régulés. En effet, si le réservoir de l’état est à sec, c’est que celui de l’ensemble des citoyens et entreprises est plein, et donc les fortunes plus importantes, en moyenne. Il s’agira de réévaluer la barre des 7000Y€ (et le taux d’imposition de la moyenne), et donc la formule de l’impôt. Ce sera un travail d’ajustement à fournir : trouver une autre courbe d’impots. Pour celles proposés ici, l’arctangent et la racine x-ième, je puis envoyer à chacun, ou sur la liste, la forme des courbes "pourcentage de contribution en fonction de la fortune".

De même qu’il faudra choisir ces seuils pour les impôts au départ de la nouvelle économie, il s’agira de convenir de quelle somme d’argent doit disposer le réservoir Etat au départ.

Remarque

La fortune d’un citoyen inactif s’étblit alors selon un équilibre selon son seul salaire S. En effet, s’il ne dépense rien ou quasiment, qu’il parte de beaucoup ou peu d’argent, le jour où sa contribution (si la formule ne change pas) égale son salaire, la fortune présente sur son compte en banque sera constante égal à x, et sa contribution s’équilibre au nombre x solution de (1001.4arctan((x+S)*10000)/pi) * (x+S) * 0.01 = S ( S est une valeur connue), dans le cas où le prélèvement est fait juste après le salaire, donc joue le role d’un impôt sur le revenu. Après réflexion, on peut déduire de ceci un minorant de la quantité d’argent à donner à l’Etat au départ de la nouvelle économie saine. En fait, pour simplifier, on peut dire que cette quatntié d’argent sera : la somme de salaires actuels (50 000Y€, pour ordre de grandeur) + une valeur arbitraire tampom de sécurité, pour être sûr de ne pas être à sec (100 000 Y€, par exemple). Il s’agira d’observer si les caisses de l’état ne se remplissent ni ne se vident par rapport à la valeur initiale ; pour rôder rapidement le système je propose de mettre en oeuvre des tours de 14 ou 7 jours dans un premier temps.

Les entreprises

Les comptes des entreprises peuvent être imposés autant que ceux des citoyens, ce qui les incitera à investir et pas trop accumuler l’argent. Leurs produits seront taxé selon une valeur constante, par exemple 20%. Ou alors, n’est pas taxé directement, comme nous le verrons par la suite. Si les entreprises ne créent rien, les citoyens ne voudront rien acheter et l’économie sera bloquée sur ce marché (l’immobilier n’est pas concerné car intra-citoyen, en général, sauf qu’il faudra faire une entreprise d’Etat qui vend les maisons et agrandissments de maison ; les denrées perrissable, mi-public mi-privé, est l’objet d’un paragraphe plus loin). Pour l’immoblier, attribuer le même nombre de point de statuts aux maisons que pour les objets (1 point par 5Y€ de la valeur au cadastre si l’immeuble est possédé est non loué, et le locataire a les points de statut de l’immeuble tant qu’il le loue). Je ne sais pas si le conseiller économiste M. Raveline, auteur d’une thèse sur le sujet, retrouvera ses petits dans ma présente défense des points de statut, mais je pense qu’on peut la garder en tant que composante du jeu.

Si les entreprises créent trop d’objet, les gens n’auront pas de quoi tout acheter et c’est alors que s’instaurera la compétition à qui vendra le plus beau produit. En fait, cela redonnera aussi une valeur aux points de statuts. Le nombre de points de statut attribué à chaque produit devra être propotionnel à son prix (par exemple : 1 point pour 5Y€) et à chaque produit, un jury doit attribuer une note entre 0 et 10, ce qui augmentera le nombre de points de statut qui lui est attribué de 0 à 100% (c’est-à dire que s’il est très beau et a une note de10, le nombre de points de statut est doublé). En fait, un système plus compliqué, pour ajouter des points de statuts aux produits, mais tellement plus efficace serait à mettre au point. Certes, il demandera plus de travail à son élaboration et sa mise en place, mais ce sera beaucoup plus intéressant à jouer. Voici : comme c’est la mode qui dicte le statut, on fera : le nombre de produits d’une sorte (par exemple, un parfum à 100Y€) en vente est limité à n, n est au choix de l’entrepriseet inférieur à 20, l’entreprise qui met en vente ses n produits doit payer à l’etat 40% de ce quelle peut gagner si elle vend tout, ici elle doit à l’Etat 600Y€ si n=15. L’entreprise n’a pas le droit de lancer plusieurs séries du même produit ou similaire (l’administrateur surveille). Si 10 parfums (dans notre exemple) sont vendus, le nombre de points de statuts attribués au produit à partir de son prix (ici 20) est augmenté de 100%. Si 5 parfums sont vendues, le nombre de point de statuts augmente de 50%, etc... Si l’entreprise vend moins de 40% de ses produits, elle a moins gagné que ce qu’elle a donné à l’état, et c’est tant pis pour elle. Mais cela incitera à faire des produits de qualité, et par là même induira une compétition salutaire entre les entreprises. De ce point de vu, la Radada’s unlimited est bien partie, et c’est normal. Les entreprises devront trouver le juste milieu entre miser sur un produit qui se vendra et peut donner des points de statuts pour les clients, ou bien ne pas prendre risque en mettant moins de produit en vente et donc avoir moins d’argent à donner à l’Etat. D’un autre côté, il ne faut pas indiquer combien de parfums sont déjà vendus (sauf s’il est épuisé, il faut indiqué "épuisé" sur le marché), l’acheteur doit garder son libre arbitre pour juger de la beauté de l’article (et donc jauger le nombre de point de statut qui peut être attribuer au produit), et il achetera les plus luxueux à son goût. Aussi, pour qu’il sache le potentiel de gain de point de statut, le nombre total de produits mis en vente doit être indiqué (dans l’exemple : "15 parfums ont été mis en vente").

Ca implique peut-être la destruction de tout les objets qui sont possédés par les citoyens aujourd’hui et des points de statuts...Oui, et si l’ont fait ainsi, il s’agira de redistribuer leur argent aux citoyens, pour qu’il puissent dans un premier temps refaire leur panoplie d’objets, et sur le marché il faudra réévaluer les prix de chaque objet, leur nombres à metre en vente, leur prix de manière judicieuse de manière à ce que les citoyens ne peuvent pas acheter tous le produits d’un côté (les entreprises s’enrichiraient bien trop), ni qu’il ne puissent acheter une quantité négligeable de ces produits (les entreprises ferait faillites). En fait, il faut qu’ils puissent acheter 50% des produits, ce qui est légèrment supérieur au taux d’imposition des entreprises à la création de bien (40%), ce qui permettra à la plupart d’entre elles vivre et s’installer dans cette nouvelle économie. La création de produits se fera par la suite, ni trop faible ni trop importante. En effet, l’intérêt de ce marché, outre qu’il redonne signification aux points de statut, c’est qu’il est auto-régulé. Si les entreprises mettent trop de produits en vente, ou que ces produits ne sont pas intéressants, les citoyens achèteront beaucoup moins de 40% des produits car ils n’auront pas assez d’argent ou les objets ne sont pas assez intéressants pour être achetés. Par contre, si on s’aperçoit qu’il y a très peu de produits en vente, les entreprises voudront créer des objets dont elles sauront qu’ils s’écouleront facilement, les gens faisant la courses au points de statuts ( pour les calculs de point de statut, quand il ne tombe pas rond, prendre systématiquement l’entier inférieur. Par exemple, un objet de 60 Y€ vaut à la base 12 points, si on en vend 7, il rapporte 12+70%*12 = 20,4 points, qu’on arrondit à 20. Cela implique aussi le changement continuel du nombre de point de statut des personnages, même s’il n’achètent rien). Les entreprises devront, en créant leur objet, donner 40% à l’Etat de l’argent qu’elles comptent gagner si elles vendent tout, pour cela elle peuvent soit puiser dans leur compte, soit celui de leur propriétaire, soit emprunter à la banque de Venys, c’est-à-dire l’Etat. Si elle n’arrive pas à rembourser sa banque parce qu’elle ne vend pas de ses produits..réflechissons à ce problème...elle devra attendre longtemps que l’argent arrive avant d’avoir l’argent pour lancer un nouveau produit. Si il met vraiment trop de temps, par exemple 6 mois, soit :

En fait, il faut supprimer un temps le marché des biens, et le jour où il se remettra en place selon cette nouvelle organisation régulée et après que chaque entreprise ait choisi les produits quelle met en vente, on donne aux citoyens la quantité d’argent qui correspond aux produits qu’on leur a préalablement supprimés, quantité d’argent pour qu’ils pourront utiliser pour se ruer sur ce marché.

Enfin, la dernière loi passée récemment sur les points de statut est aussi parfaitement compatible avec cette idée : un citoyen seul ne peut faire monter le nombre de points de statut en achetant plusieurs fois le même produit. Les deuxième, troisième, etc produits suivant qu’il achète ne raportent plus respectivement que 50%, 25%, 10%, 10%, 10%... des points de statuts qu’ils rapporteraient normalement.

Le système poyscaille n’est pas incompatible avec la nouvelle économie. En fait, je pense qu’il représente un flux d’argent négligeable. Ensuite, les joueurs payent l’etat pour le faire fonctionner, et si les citoyens ont de l’argent en trop, il le dépenseront, ou s’il dort sur un compte, il ira en impot à l’etat (n’oubliez pas l’analogie des réservoir ! l’état doit pomper et ne pas tout laisser s’écouler son argent pour ne pas être à sec). Il se trouve d’autre par que cette poscaille ressemble à une loterie...

Le marché des denrées perrissable pose quelques difficultés. On peut considérer que la partie publique des denrées, celles vendues par l’état, est le sevice publique minimum qui doit être vendus au plus nécessiteux. L’argent de la vente va entièrement à l’Etat. Et pour le privé ? En fait, pour simplifier, nous dirons que pour chaque 1 Y€ de denrées possédées, l’acheteur gagne 1 points de statut (parce que c’est précieux, et 1 point pour 2Y€ si cela vient d’un kolkoze d’Etat, de moins bonne qualité), valeur fixe contrairement au marché des objets. L’argent de la vente va à 60% au propriétaire, pour qu’il puisse amortir petit à petit son matériel, et le reste va en impôts. Il y a possibilité au propriétaire d’augmenter les prix de sa denrée en payant l’état, de par exemple 50Y€ pour augmenter le prix de son kilo d’opyum de 1Y€ (ce qui est équivalent à donner une meilleure qualité au produit, donc plus de soin, un meilleur matériel...). Possibilité aux citoyens d’augmenter leur capacité de stock aujourd’hui limité à 2 denrées, en achetant à l’état, décidément véritable Léviathan, un entrepôt, par exemple 50Y€ par unité de denrée supplémentaire stockable (denrées qui, rappelons-le, rapportent cinq plus de points de statuts que les objets pour la même quantité d’argent, mais d’un autre côté, elles périssent...) Possibilité aussi de négocier tous les chiffres énnoncés, et de les adapter au fil du jeu s’il appraît que les denrées ne valent rien en point de statut face aux objets, ou inversement, afin de trouver l’équilibre.

Les salaires

Comme j’en ai déjà parlé précédemment, les anciens salaires sont conservés, ainsi que les grades, et quand ils augmentent suite à des missions réusssie, l’état doit créer l’argent de cette augmentation de salaires (pour croissance économique qui corresponde réellement à une création de valeur par les joueurs)

Les facultés et associations

Ces entités aussi possèdent un compte, et il s’agit qu’elles ne bloquent pas trop d’argent (bien qu’elles n’en cumulent pas beaucoup). Mais on ne peut pas non plus leur faire payer le même impôt que les citoyen, et ceci pour deux raisons : elles ne sont pas à but lucratives (contrairement aux citoyens) et n’ont pas de salaire fixe. Aussi, dans le cas limite où il ne se passe rien dans une faculté, l’argent ne doit pas trop stagner. C’est pourquoi je propose une imposition légère, par exemple 8% par tour. Bien sûr, il est illégal pour un doyen ou n’importe qui de placer ses sous dans une faculté ou autre, pour les reprendre après, pour échapper à ses impôts. De même, surveiller la création de clones pauvres pour payer une propostion moins importante d’impôt selon l’arctangente. Les facultés devront toucher à chaque tour une subvention propotionnelle à son activité du mois, mais moins importante que celle existant précédemment, je propose 500Y€ par thèse publiée(non ridicules...il y en a en lettre).

Conclusion

Voilà donc mes propostions de réforme de l’économie pour qu’elle serve à quelque chose et soit élement de jeu. Il me semble que le système tel que je le propose est assez bien régulé, et le sera parfaitement avec quelques réglages après quelque mois de fonctionnement. Certes, la proposition doit être sujette à débat est l’on doit déterminer les valeurs qui sont en suspens ; elle peut ne pas être populaire puisqu’elle mais en place des impôts, mais elle sera l’objet, je l’espère, d’un referudum ; elle demandera beaucoup de travail aux administrateurs pour la mettre en place sur Clyo. Mais l’histoire ne nous donne rarement d’exemple de réformes, aussi salvatrices soient-elles, qui soit passées sans problème. C’est pourquoi je vous demande, Yssois, Yssoises, de participer à son élaboration et d’accepter la mise en place de ce système.


Suite à ce texte : une amorce de controverse avec le gourou du jeu pré-cité.

"Quelques remarques. En fait, je vous propose une formulation radicalement différente de vos propositions, qui sont présentées comme très révolutionnaires alors qu’en réalité les changements sont minimaux :

Je pense que pour que vos ydées soient acceptée, il faut les présenter comme reposant sur les principes actuels et donc entraînant tout compte fait peu de changements, simplement un surcroît d’intérêt et de cohérence.

Il est évidemment hors de question d’effacer tous les produits qui ont été faits. C’est une question de principe non négociable : toute économie doit être STABLE. Si on créé un précédent de destructyon du passé, il y en aura d’autres, et cela découragera les investysseurs. Les entrepreneurs ont créé des produits, ont fait des sites, ce n’est pas pour que tout ça passe à la trappe.

Vos idées sur la mode sont intéressantes, mais ne s’appliquent qu’aux abonnements et produits courants. Je pense du reste travailler cette question de façon moins brutale que vous, à partir de la notyon de manufacture et d’atelier, que le producteur achèterait et qui lui permettrait de produire plus ou moins de produits."

Je répondis : pour la "suppression" des produits, il s’agit de suprimer (ou ou plutot reprendre contre argent) les objets appartenants aux gens afin de lancer une nouvelle économie (mais peut-être peut-on trouver un moyen pour ne pas avoir à le faire.. ;ça me semble difficile). On pourra remettre sur le marché les même objets (parfum, peintures, etc...) sous réserve d’en limiter le nombre et de défénir les prix.

Puis, dans une réponse, Anaclet : "- Sur les biens, ma réponse est un NIET catégorique. On ne les supprimera pas. On peut choisir à la rigueur dans limiter POUR L’AVENIR la production. Mais ce qui a été acheté reste acheté.

Je reste dubitatif sur l’intérêt de votre hausse d’impôt, j’attends la démonstratyon qu’elle pourra réellement atteindre les objectifs attendus et surtout qu’elle permettra de réaliser un équilibre budgétaire. Quant à la réforme sur les biens, je pense comme vous qu’il faut limiter la productyon des biens de consommatyon courrante, ou en tous cas la quantifier, ce qui devrait être fait prochainement. Les idées de mode me paraissent s’éloigner trop du concept original de l’économie yssoise qui est de favoryser l’yssité des créatyons."

Je répond ici : pourquoi encourager les prduits spécifiquement yssois ? La radada’s est une entreprise dynamique, ensuite si ses aquarelles plaisent, c’est qu’elles sont belles, travaillées (drôles). Que ça soit yssois ou autre, qu’est-ce que ça change ? Mais si vous voulez faire du protectionnisme, il suffira de taxer plus fortement les entreprises non-yssoise, tels les abéricains. Il n’empêchera que si les produits non-yssois sont bien mieux que les yssois, nos citoyens n’auront pas à s’embarrasser de patriotisme économique et irons acheter étranger, tels les rustres.

"Effet de mode", avec peu de consommateurs...mais comme je l’expliquais dans mon essai, il s’agit d’adapter le nombre de produits aux nombre de consommateurs. Seuls les meilleurs produits seront vendus, et en fait, ce n’est pas un effet de mode, mais de sélection par les consommateurs des meilleurs entreprises. La mode se manifeste dans le nouveau système du calcul des points de statuts, mais on peut faire autre chose aussi. À ce sujet, je note la naissance des Raveline Survival, qui vend aussi d’amusants produits (dont des têtes nucléaires), qui devraient faire fureur, même moi j’en veux, mais c’est un peu cher...

En fait, il y a deux principaux points dans mon exposé : la mise au point d’un système d’impôt pour mettre fin à l’inflation permanente, et modification du marché pour qu’il soit plus intéressants pour les acheteurs et source d’émulation pour entreprises. La fin de l’inflation permanente est une condition nécessaire, pour la modification du marhcé, mais la réciproque n’est pas vrai. Pour répondre à la question de l’équilibre budjétaire, c’est que je n’en suis pas sûr, mais il s’agira d’adapter le système au cours du temps si les réserves de l’état se vident et qu’elles risquent de se retrouver à sec. Mais si c’est le cas, à la limite, on pourra ne pas payer les salaire un tour ou deux, car ça signifie que les comptes des citoyens sont pleins à craquer et que l’argent ne circule pas. En fait, il me semble difficile que les comptes des citoyens et entreprise puissent se remplir (petit à petit, avec les salaires) jusqu’à prendre tout l’argent de l’état, car l’impôt progressif reprend l’argent. Au besoin, rehausser l’impôt, puis le diminuer, le modifier jusqu’à trouver l’équilibre. Tout cela, bien sûr, pour mettre fin à l’abject modèle de l’inflation permanente."


Ce premier texte succita quelques réactyons sur la lyste, outres celle-ci dessus qui sont en fait des courriels privés. Pour enfoncer le clou et montrer mon syncère et total engagement en faveur d’une réforme, je donnais un cours publyc à l’amphythéâtre de la faculté d’économyeours pour montrer la cryse en cours dans ma faculté.


C’est lors de ce cours magystral, lundi au petit matin, que le doyen Fabyus Tremblay a voulu donner le coup d’envoy d’une nouvelle ère.

Le doyen entre dans l’amphithéâtre, sur l’estrade. On remarque ses traits tirés et ses yeux embués d’émotion. Chacun fait silence.

Mes chers étudiants...mes tous petits...

(Temps d’arrêt. Le doyen a visiblement la gorge serrée. Chuchotements dans la salle.)

Nous vyvions dans le mensonge. Nous vivions dans le mythe. Le mythe que l’économie était floryssante, que ...et que la faculté avait quelque fonctyon, quelque buts, dont l’étude de cette économye floryssante et sa glorification. Or il n’en n’est rien.

(Nouveau temps d’arrêt) Ô vanité ! Ô désillusion !

Or il est apparu, suite à mes études, que l’argent ne valait absolument rien. Du vent. Du vide. Les gens, croyant brasser de l’ergent, ne font brasser que du vent. La preuve éclatante nous a été fournie lors d’une expérience la semaine dernière : il y avait 4000 yris à gagner à rien faire quasiment, juste écrire quelques lignes pour défendre le système actuel, et personne, absolument personne n’a réalisé la ridicule tâche demandée, bien que certayns aient remarqué que c’était cher payé. Or 4000 Y€, c’est pour un yssois moyen, plusieurs mois de salaire. Comment expliquer cette désaffection autrmement que par l’inexistence de la valeur de l’argent ?

Si l’argent ne vaut rien, notre fonction serait donc totalement injustyfiée. Nous n’avons pas à étudier le brassage de vent, ce serait ridicule, vain, improductyf, abject. Nous ne serions que des éléments chapeautant un vaste mensonge, le mensonge de l’économie. Qui n’a aucun fonction régulatrice, émulatrice, sélectrice ou quoi-que-ce-soitrice.

Bien sûr, une fois que la lumière a percé dans vos esprits, votre compréhension du problème acquise, il ne faut pas de se lamenter sur notre sort. Il faut réfléchir, proposer, argument et lutter pour l’instauration d’un nouveau système. Réfléchir et proposer, c’est ce que j’ai fait récemment. J’ai identifyé la source du problème : l’abondance de l’argent ( ! - a-t-on déjà vu ça dans une économye autre qu’hyperinflationniste, c’est-à-dire pas vraiment exemplaire ?), qui elle-même vient de l’application du modèle de l’inflation permanente, qui crée à chaque tour, de manière infondée par une augmentation des richesse réelles, d’énormes quantités d’argent pour payer les salayres. Mais je ne vais pas plus entrer dans les détails. Sachez que ce modèle est la cause de l’inexistence de la valeur de l’argent, et que nos financements reposent sur du vide, ainsi que tout ce qu’on apelle économie, et même les salaires, contenu des comptes de facultés, pôt-de-vin, etc... Or ce qui repose sur le vide en économie fynit par s’effondrer, choir lamentablement, se ramasser la gueule, pour cela je vous renvoye à votre cours sur les causes du krach économyque de 1929 chez les abéricains.

Si l’on n’arryve pas à obtenir la mise en place d’un nouveau système face aux dirigeants de ce pays qui peut-être imbus d’eux-même se complaisent dans ce mensonge, nous ne pourrons que confirmer notre inutilité et je me verrais contraint de dissoudre notre faculté dans de l’acide sulfurique.

(Le doyen se retire. Murmures puis bruyts grandissant dans la salle.)


Les débats furent houleux pendant la semayne. On peut en retrouver dans ces même archyves, aussi je ne reprendrays pas tout ce qui a été dit. Unyquement les réponses et textes non encore publiés. Je pense qu’ils sont là au complet.


J’ai répondu de nombreuses fois à Mme Emphetuocle. Voici me réponse à sa réponse de ma premier crityque de sa thèse pour une économie yssoise, laquelle faisait écho à mon playdoyer pour une économie saine et cohérente.
">[...]comme seule solutyon à tous les problèmes économiques que les taxes. Je >pense que les taxes sont insuffysantes, et qu’il faut aller plus loin, en >favorysant très largement les produyts yssois.

_pourquoy encourager ?encourager, quelque chose comme les subventyons abérycaines ? Yls on besoyn d’ayde, nos produyts ? Je croyais que la cyvilisatyon yssoise était ynfiniment supérieure...

Pourquoy ? Depuys que vous êtes à Ys, vous avez toujours refusé de vous >intégrer réellement à la société yssoise.

sy vous le dites...

Et acheter des pin’s Ra Dada, c’est sympa et imaginatif (je reconnays volontiers beaucoup d’imaginatyon aux produits de l’entrepryse de Ra Dada)

pas les pin’s...les estampes...

mays ce n’est pas réellement dans la culture yssoise. C’est un comportement >non-yssois, qui, à mon sens, devrait enlever des points d’yssité à ceux qui >achètent ces produyts

_Ouy ! Dénonçons les traîtes ! Et même, envoyons-les à la Kolyma !

2/ sur l’intérêt de l’argent. Je pense avoir démontré que dans toute >économie virtuelle, l’argent n’a pas d’intérêt si ce n’est virtuel.

_Cf mes étudiants, leurs grands yeux pleyns de larmes, songeant à l’acyde sulfurique.

Enfin, je pense que votre proposytion est totalement erronnée. Tout >d’abord, elle ne met absolument pas fin à l’augmentatyon sans cesse infinie >de la masse monétaire, et donc elle ne répond pas au problème que vous vous >posez.

_Mays si ! Mays si ! cf. ma démonstratyoon, dans un autre courryel

Ensuyte, je pense que quelque soit les taux d’ymposityon retenus, l’Etat >sera toujours en déficit et devra donc à un moment ou à un autre prendre >d’une main tout ce qu’il donne de l’autre.

C’est vray, mays c’est le cas de tout Etat (sauf ceux où l’ont trouve de l’argent en creusant un défycyt)."


D’un point de vue technique, je m’attelais à parfaire la démonstratyon de la preuve de la cohérence de mon système économique notament sur le rapport impôt-salaire qui doivent se compenser, dans un impérissable "complément de la preuve" et avec des réponses implaccable à mes détracteurs. Cette démonstratyon faisait surtout écho à M. d’Ophiccius et Mme Emphétuocle, plus que septiquessur la question.

"Simplifions à l’extrême l’économie à un citoyen , disons moi, et l’état me paye un salaire de 400 Yris par mois, nous ne sommes que deux acteurs économiques. Le taux d’imposyion est de 20% sans arctangente. ... Et bien c’est très simple. Si je possède sur mon compte en banque 2000 Yris (et quelque soit ce que possède de l’état), qu’on prélève l’impôt avant la paye : 20%*2000=400 Yris, l’état a de quoi me payer mon salaire. Enfyn, on conviendra que ce système symplifié n’a pas grand intérêt, mais la preuve est faite.

En compliquant l’économie et en laissant à l’état une caysse un peu garni pour sécurité, l’économie garde un équilibre et sans créer d’argent depuis nihilo ( si on néglyge les arrivées de nouveaux citoyens et hausses de salaires). Et si je ne veux pas donner beaucoup d’argent en impôt à l’état, je n’ai qu’à pas l’accumuler sur mon compte, en achetant des produyts (peu m’inporte leur nationalité, c’est un tout autre problème d’ailleurs, zut ; Mme Emphetuocle ne mélangeons plus), j’achète des produits et autres babioles sur lesquelles l’état prélève aussi un pourcentage. Et les flux d’argent seront plus nombreux, plus fluides."


Réponse de Mme Emphétuocle :

Votre démonstratyon est totalement farfelue... ! Imaginez qu’au lieu de
toucher 400 Y ? par moys, vous en touchiez 600. Et que sur votre compte en
banque, il y ait 2000 Y ?. Avec votre taux d’imposityon à 20%, l’Etat
prélève 400 Y ? et vous en verse 600... et perd donc 200 Y ? à chaque tour.
Vous voyez, moy aussy, je peux inventer des exemples absurdes. Cela montre
qu’il est /possible/ qu’il y ait un équilibre entre impôt et les salaires,
et absolument pas qu’il est /certain/ qu’il y aura un tel équilibre.

Maintenant, je vays vous donner une autre rayson qui font que votre système
est absurde. Vous prétendez qu’il permettra de donner de l’intérêt à
l’argent. Mays, si on possède beaucoup d’argent, l’Etat nous en prend une
quantité toujours plus grande. Je n’ai pas fait le calcul, mays admettons
le taux d’imposityon astronomique que vous nous proposez. Si j’ai par
exemple 50.000 Y ?, l’Etat m’en prend la moitié à chaque tour. Le tour
suivant je n’ai plus que 25.000 Y ?. Et il n’y a aucun moyen, à l’heure
actuelle, pour gagner 50.000 Y ? en un tour. Admettons que je gagne 3000 Y ?,
avec tout (pêche, denrées péryssables, myssions, salaire...). Au tour
suivant, j’ai donc 28.000 Y ?. Et là, avec votre équation, l’Etat m’en
prend, mettons, un quart. Je me retrouve avec 20.000 Y ?. J’ai donc gagné
3000 Y ? et j’en ai perdu 7000 Y ?. Pourquoi continuer à gagner de l’argent
si tout ce que je gagne est prys par l’Etat ? Cela n’a aucun intérêt.

Votre problème, c’est que vous n’avez rien comprys à l’économie.

Marilyse Emphetuocle
Doge honoraire - Vyce Doge - Conseyller du Dedans
Ligore Emphetuocle


Ma réponse succinte :

Point du tout. si vous avez 600 Y€ de salayre, on trouve alors un autre point d’équilibre, comme dans un système physique (analogie avec le réservoyr et le robinet...) . Au premyer tour, votre compte s’accroitra de 200Y€ et l’état vous prend au tour suivant 20%*2200=440, votre sa fortune augmente encore de 160Y€ au détriment de l’état ;et augmentera encore les tours suivant, mais de moins en moins jusqu’à l’équilibre où l’état ne perdra pas d’argent, qui est ici le cas où vous avez 3000Y€ sur votre compte. On voit là que pour que ce système fonctyonne et trouve l’équylibre, il a fallu au départ que l’état ayt au moyns 1000 yris de réserve au départ. en fait, plus votre salaire sera élévé, plus cela vous permettra d’avoir un "équilibre haut" de votre compte face à l’état-suceur, dans ce système symple.

Pour la seconde partie, vous avez compris qu’en fait il n’y a aucun intérêt à accumiler l’argent. Si vous touchez brusquement 50000 yris(peu probable), vous les dépenserez vite fait (en objet, immeuble...) si vous ne voulez pas que l’état en prenne de grande quantité, en mettez un certayne quantité sur un compte d’épargne pour des investismments futurs. d’où fluidification de l’économie.


Contrybution de Mme Tinùviel :

Cher Monsieur Tremblay,

C’est intéressant tout cela, mais...Que se passe-t-il si vous mettez
directement vos 2000 Yris sur le compte d’épargne que vous évoquez ? ? ?

L’Etat-suceur se transformera alors en Etat-cracheur il me semble ! ! !

Zoé Tinùviel


Ma réponse :

C’est vrai. Il faut limyter la somme que l’on peut mettre sur l’épargne (comme c’est le cas actuellement, à 3000Y€, et le système état+citoyen doit avoir alors 6000 Y€), soit carrément supprymer cette épargne. L’état-suceur, ou disons plutôt l’état-sangsue, ne peut tolerer que de telles quantités d’argent échappe à ses ventouses.


Proposition de M. Petit Ours Brun

En mon nom personnel, je trouve cet ensemble de proposytions très
satysfaysant. Je suys notamment pour cette redystributyon partyelle de
pouvoir aux Arystocrates, qui, grâce à Poséydon (Loué soyt-il !), sont les
garants de la stabilité de notre Empire. Il va sans dire que ce sont eux
qui sont les plus riches et qui méritent de l’être.

Je suys aussy pour la créatyon d’un Club des Capitalystes Yssoys, qui
rassemble les cinq commercants les plus riches d’Ys ( ceux dont les
bénéfyces directement liés à la vente de produits sont les plus élevés ).
L’accès au Club donne des avantages en nature : cadeaux de luxe, cures de
thalassothérapys, accès à une lyste pryvée où l’on se moque des pauvres et
à des produits rares et invysibles pour le grand public ( produits que
seuls les membres du CCY peuvent produire )... Cela encouragerait fortement
la productyon de notre petit artysanat, qui souffre actuellement ( et pas
seulement parce que je fouette mes employés crassyeux ).

Petyt Ours Brun.


Tremblay

je trouve pour ma part que ça rajoute des complycatyons. Que’est-ce donc que ces coûts de gestyons de terres par les eygneurs ? ça en’existaiy pas, avant. ça rajoute des charges aux seigneurs. Et ça rajoute des structures, donc ça complyque l’économie.. Et cette négocyatyon des salayres avec le Doge ? elle fera selon ses caprices et affinités, alors que le système actuel rémunère au mérite, selon le travail effectué par le passé avec des années de travayl pour l’assension social. Avec allusion historique, je dirais : autant mettre les Merksistes-Luninistes au pouvoyr pour qu’ils redéfinissent complètement l’échelle sociale, selon le zèle dont fait preuve l’individu en faveur du chef.


Marilyse Emphetuocle

Ce serait l’ydéal. Malheureusement, on sait que ce genre de chose marche assez peu. En effet, cela repose sur une évaluatyon qualitative de l’activité, qui ne peut être fait que par un intervenant humain. Et donc quelqu’un qui se connecte régulièrement, par exemple tous les jours, et qui prennent le temps de parcourir l’activité du jour, de l’évaluer, etc.

C’est ce qu’aurait du faire le Conseyl des Sages et le Doge pour l’octroy régulier de points de statuts, mays on constate que ce n’est pas le cas. C’est humain : si ces gens là doivent se connecter tous les jours pour une tâche fastidieusement adminystrative, ils perdront beaucoup de playsir au jeu. Les tâches d’adminystratyon, avec les myssions, les permys de construire, la presse, les emprunts, etc. sont déjà assez lourdes, même réparties sur plusyeurs.

Yndéniablement, cependant, il faudrait prendre en compte la qualité du site et la présence sur le net de la gestyon et de l’animatyon du fief. On pourrait imaginer que toute modificatyon du site du fief pourrait être signalée à l’adminystratyon, qui octroierait en permanence une note ou un classement des sites exystants. Quant à l’animatyon du fief sur la lyste, elle reste pour le moment facyle à évaluer à la louche (là, comme ça, je mettrais 8/10 à BHP, 3/10 à John Les Nonnes, 5/10 à Remedius, 1/10 à Paxatagore et rien pour les autres). Reste à savoir si ce type d’évaluatyon sont justes et durables dans le temps.

Pour la gestyon de fiefs, je pensays que le seigneur pourrait se voir proposer plusyeurs modes de gestyons.

Par exemple. Evydemment, on peut créer d’autres modes, et passer d’un mode à un autre ne se ferait pas sans douleur. Pour accroître ses revenus, le Seigneur devrait ensuyte réalyser un site Internet ou animer la lyste avec son fief et ses vassaux.

Marilyse Emphetuocle


Petit Ours Brun

Il est vrai que les charges de gestyon au seigneur sont moyennement utiles à la vitalité d’Ys. Mays un fief bien entretenu doit rapporter plus qu’un fief invisyble, d’où les différences de rétributyon. Pour ma part, je limiterai la "gestyon" des fiefs à leur présence sur la lyste et leur qualité internet.

Pour ce qui est des salaires, ce que propose l’Emphét’ est très intéressant : sy vous animez la vie du fief ( récyts sur la lyste, créatyon d’entrepryses...), le fief touchera plus d’argent par le CEAS. D’où l’intérêt d’avoir des "aides" dévoués et actifs, et d’encourager la compétityon entre eux à l’intérieur de votre "cour". Hé hé, pas mal !

POB


Enfin, je fis part de mes objectyons à M. De Legys (dont on trouvera la thèse sur l’économie dans les archyves et à la faculté). Voici le dialogue :

_Je m’opppose à la suppressyon systématique des salaires. Par contre, une dévaluatyon régulière (par exemple moins 5% par tour) peut être envisagée, elle serait à compenser pour les citoyens actifs par l’accomplissment de missions. Ceux qui ne font ryen verront leur salayre fondre. Du poynt de vue de la créatyon d’argent, j’ai déjà démontré qu’yl n’y en avait pas besoin, sauf financer une augmentation de salayre.Mais d’un autre côté, il faudra alors supprymé les 5% de dévaluatyon mensuel d’argent sy cette réforme est ynstituée." _Votre idée me semble intéressante, mais je pense que le pourcentage devrait être plus élevé. _Je propose : 8% me semble un bon chyffre. Cette perte est équivalente au gain de salaire que l’on peut faire en accomplisant une grosse myssion pendant le même mois. Mays tout de même cette érosyon des salayre pourra paraître élevée, à l’usage.

À l’heure où j’écris ces lignes, c’est l’endroit où en est le débat.