Hector D’Ysciple , 23/11/an IV 22:06
Previously in Sérényssime :
Hector est à la fenêtre, une jolie jeune fille répondant au doux nom de Sydonie vient d’arracher les barreaux de la cellule et Hector s’est retrouvé sur le toit du Palays du Conseiller Catilysna. Au Palays, l’alerte a été donné et Catylysna est en colère, très en colère contre son dogeounet chéri. Tant et si bien qu’il a proposé une loi constitutionnelle.
Rhodysland
Sidonie sort alors de sa combinaison noire une épingle à chevaux (très pratique pour épingler les chevaux) et la tend à Hector D’Ysciple qui a l’air plus fatigué que jamais :
- Tenez, ça vous fera un marque-page super pratique.
- Oh mais c’est trop gentil.
Hector se penche alors pour prendre son livre (toujours les Croisades Méditérranéenne en atlante dans le texte), glisse l’épingle à la page où il se trouve et constatant que c’est un marque page merveilleux, s’apprête à embrasser sur les deux joues la belle brune qui vient de le sauver. Mais la jeune fille n’est déjà plus là. Levant les yeux, il n’aperçoit à perte de vue que des champs, des vaches et un peu la mer, mais il y a du brouillard aujourd’hui. Hector s’époussète, sort un miroir de poche et tente de redresser l’épi qu’il n’a plus dompté depuis qu’il est enfermé. A l’aide d’un peu de salive ingénieusement trouvée dans sa bouche, il en vient à bout et, n’ayant plus aucun sujet futile auquel penser, il se mit à réfléchir sur la situation.
Sa position : station debout, sur le toit du Palays de Catylysna. On pourrait croire que les toitures sont en pentes mais en fait il y a de petits plats qui permettent de ne pas glisser, probablement installés par les couvreurs il y a bien longtemps. Son objectif : raporter de l’Absynthe Cuvée 78 à Maxime Gheyssens à Nautia (parce qu’il a répondu "HOURRA" en premier, il est trop fort ce Maxime)
Son problème : tu déconnes ? Il en a pas qu’un de problème ! Alors d’abord, échapper aux gardes de Catylysna qui rôdent (normal, on est en Rhodysland) dans les parages, ensuite trouver de l’Absynthe Cuvée 78 (et ça, c’est peut-être le plus gros problème)
Hector allume alors son petit cerveau de poche (certain n’ont pas leur langue dans leur poche mais Hector, lui, a son cerveau dans sa poche) et se met à réfléchir.
Dans l’immédiat, faudrait se cacher. Ensuite, contacter le Réseau St Gracque en espérant qu’il est toujours actif.
Quelqu’un aurait une échelle ?
Lidoine de Valocène , 23/11/an IV 23:07
EH-RHOD
"Monsieur le doge, par ici....".... La jolie brune appelle le doge depuis un toit un peu plus loin. Hector a vite fait de la rejoindre. Une corde permet d’atteindre le sol. La jeune fille tend la corde au doge qui commence sa descente.
Soudain, quelques gardes apparaissent au coin du palais. Sidonie se couche sur le toit, tandis qu’Hector se plaque contre le mur. Heureusement les gardes ne lèvent pas leur regard vers les toits et poursuivent leur route.
Hector reprend sa descente. Il atteint la terre ferme assez rapidement. Peu après, Sidonie le rejoint et l’entraine vers la rue Anaclet de Paxatagore, au numéro 3 très exactement. La jeune fille ouvre la porte prestement.
Une fois la porte refermée, Sidonie allume la lumière :
- C’est bon, nous serons tranquiles ici
- Mais où sommes-nous ?
- Chez moi... enfin presque...
La jeune fille retire devant les yeux d’Hector une perruque brune qu’elle porte très bien d’ailleurs, et dévoile sa chevelure courte et blonde ! Hector la reconnais alors... Lidoine de Valocène !! Il ne l’a pas vu depuis plusieurs années mais elle n’a pas changée....
- Lidoine ?
- Et oui !! Vous êtes surpris ?
- Plutôt, je ne vous ai pas revu depuis votre départ d’Ys.... Mais que faites-vous ici ?
- Ah, c’est une longue histoire, je vais tenter de vous la résumer... Depuis le début de votre captivité, le Réseau St Gracque tente de vous libérer. C’est ainsi qu’il m’a contacté à Prya où j’étais dernièrement pour tenter ce plan. Comme cela fait longtemps que je n’avais pas mis les pieds à Ys, il m’a été relativement facile d’appater Léa Valadonys, afin qu’elle me trouve un logement ici, à seulement quelques pas du Palays de Catilysna. Il faut dire que notre plan a fonctionné à merveille, j’ai eu en quelques jours accès à cette merveilleuse demeure, où je suis resté silencieuse afin de ne pas trop me faire remarquer. Ce matin, j’ai recu un message du réseau St Gracque, me disant que l’opération était prévue ce soir.
- Mais que vais-je faire maintenant
- Pour l’instant, le plus important, c’est de mener à bien l’opération "De l’Absynthe pour Maxime". Tenez, le réseau St Gracque a apporté ceci pour vous avec le message.
Ici, Lidoine tend une magnifique bouteille d’Absynthe Cuvée 78 à Hector
- Mais mais... Comment saviez-vous ?
- Enfin Hector... Vous savez bien que le réseau sait tout.... Nous ne sommes pas une ramification de la MAFIArchipel pour rien
- Bon mais comment vais-je pouvoir porter cette bouteille à Maxime ?
- C’est simple, j’ai contacté les services secrets nautiens, en la personne de Jean-François Lalande. Il mettra à disposition une embarcation dans le port d’Eh-Rhod dans deux nuits. Vous aurez une journée pour effectuer la mission, puis vous reviendrez ici même à Eh-Rhod dans cette maison et je vous communiquerez la suite du plan...
- Mais c’est très dangereux, ici, à Eh-Rhod ? A deux pas du palais de Catilysna.
- N’ayez crainte, vous connaissez l’article 3 du réseau St Gracque : rien de tel pour se cacher que de le faire devant les yeux de votre ennemi. Cette maison appartient à Léa Valadonys, Catilysna ne pensera certainement pas à vous rechercher chez elle à quelques pas du palais...
- Mais dites moi, pourquoi m’avez vous dit que vous vous appeliez Sidonie...
- C’est un quasi anagrame de Lidoine, et mon nom de code au réseau !!
- Heu... Deux nuits, seul avec vous... Que va-t-on pouvoir faire ???
- N’ayez crainte, j’ai prévu des jeux de société... En attendant, je vais vous montrer votre chambre.... Et une seule consigne, si l’on frappe ici, vous restez dans votre chambre...
Lidoine de Valocène
Hector D’Ysciple , 27/11/an IV 16:50
[Un épisode qu’il est bien où l’on parle de jeu de société, de la Constitutyon Yssoise et où l’on se rend compte que Lidoine est blonde.]
- Je fais un six, vous piochez, je vend mon hôtel et je mange un biscuit parce que j’ai deux cartes chances et que le vent est dans ma direction. C’est à vous.
- Lidoine ?
- Oh ! Mon pauvre ! Vous avez fait 3 et le brigand est sur une case adjacente à l’un de vos fiefs, vous passez votre tour et vous êtes obligé de retirer 4 paysons des champs jouxtant les miens... C’est vraiment pas de chance !
- Lidoine ?
- Aller c’est à moi, je lance deux dés, j’ai le droit puisque vous avez passé votre tour. Hop hop, là je vous encercle, plus qu’un tour et vous avez perdu !
- ...
- Vous devriez ne pas lancer et avancer ces deux soldats en C4 comme ça vous pourriez gagner du temps. Là, là et là. C’est à moi maintenant et ! Hop ! Coup fatal ! Vous avez perdu ! Qu’est-ce qu’il y a Hector ? Vous semblez tout bizarre !
- Non, non ça va... C’est juste que quand vous disiez qu’on allait jouer à des jeux de société je...
- Vous êtes tout pâle, je vais vous chercher un truc à boire.
Et Lidoine quitte le confortable lit recouvert d’un pardessus de rouge rouge, ce genre de lit dans lequel on s’enfonce mais sans déranger ceux qui dorment (ou pas) avec vous, laissant derrière elle un espace vide au milieu des nombreux plateaux servant à ce jeu barbare et maldetêtogène auxquel ils jouent tout deux depuis plusieurs dizaines d’heure. La maison de Lidoine est sympathique, mais être à Eh-Rhod et ne rien pouvoir faire, c’est un peu comme être à Parys et entouré de maîtresses : naturel.
Lidoine réapparaît bientôt, deux larges verres contenant du liquide sacré des Yssois.
- Buvez moi ça, vous m’en direz des nouvelles !
- Merci...
- Au fait, vous êtes toujours Doge ?
- Bien sûr, quelle question ! Même si je n’ai aucun souvenir de l’avoir jamais été...
- Ne me faîtes pas rire, je vais avoir mal à l’estomac !
- Pourquoi vous me posez cette question ?
- Je ne sais pas, je traînais dans le palais de Catylysna tout à l’heure, on y parlait de la Réforme de la Continuatyon ou un truc dans le genre.
- La Constitutyon, oui. On m’a dit ça. Mays je n’ai pas eu l’occasion d’en lire un exemplaire...
- Ca tombe bien j’en ai pris un pour vous !
Hector attrape le papier que lui tend la blonde jeune fille et commence à lire
- Blabla... Poséydon... blabla... provinces autonaumes... blabla... Saunat...
- Un saunat ? Comme un hammam ? Pourquoi on parle de hammam dans la Constitutyon ?
- blabla... 4 mois... QUATRE MOYS ?.... blabla... GLURAAA... blabla... par le nomos yssois.
- Alors ?
- Bah je ne vois pas ce que je pourrais dire là-dessus, il n’y a rien dedans. Le Doge a pleins de pouvoirs au Saunat mais ça fait un bail qu’on ne propose plus de lois... A moins qu’un Saunat restreint ne devienne le pouvoir exécutif lui-même et que le Doge puisse le dissoudre. Un Saunat élu à la proportionnelle sur un scrutin de lyste pour une durée de... hmmm... disons 3 ou 5 mois... Ou alors on pourrait dire que tout le monde y est admis mais que ceux qui sont sur la lyste ayant remporté le scrutin ont deux voix... Vous en dîtes quoi ?
- Non mais, pour le hammam, vous m’avez pas répondu...
- Et cette absynthe délicieuse, vous l’avez trouvée où ?
- Je ne sais pas, j’avais une bouteille à la cave, je ne sais pas qui l’avait mise là. Je l’ai goûtée toute seule hier soir et il n’en reste plus qu’un verre, vous ne m’envoulez pas j’espère ?
- Et sur l’étiquette, il y avait quoi ?
- Une espèce de dragon bleu. Mais Hector que se passe-t-il vous êtes tout pâle !
- Quelle année ?
- Je ne me souviens plus... Ca se finissait par un 8... 78 je crois. Hé mais ! Hector !
Il est trop tard, Hector D’Ysciple, le doge le plus émotif de sa génération est encore au sol.
Hector D’Ysciple , 27/11/an IV 18:04
- Hector, ça va mieux ?
- Dans combien de temps arrive le transport pour Nautia ?
- Dans une douzaine d’heures à peu près.
- Vous savez que vous avez bu la bouteille d’absynthe destinée à Maxime Gheyssens ?
- Spa grave, on va appeler le Réseau Ste Gracque et ils vont nous en livrer une autre.
- Je ne serais pas sy optimyste.
- Pourquoi ça ? Faut être optimiste dans la vie ! Aller ,souriez !
Hector se redresse et commence à raconter l’hystoire du Chateau Dragon 78 : "Il y a de nombreuses années, je n’étais même pas né à l’époque, un original fit l’acquisityon d’un Chateau dans le massyf de l’Ysverest. Tout le monde le pensait fou, surtout qu’il disait qu’il n’y avait que là-bas qu’une bouteille d’absynthe digne de ce nom pourrait être fabriquée. Il s’est exylé et personne n’a plus jamais entendu parler de lui. En 78, il a réapparu à Venys. En dix ans, il avait réussi à produire 5 bouteilles. Trois ont été vendues aux Deux Mah Go. Une a été offerte au Doge de l’époque et deux ont dysparu de la circulatyon. Il y a un ou deux ans, on les a retrouvées, les deux dernières bouteilles de Chateau Dragon. La meilleure absynthe jamais produite. Le réseau en possédait une, je le savais et c’est celle que nous venons de boire. La dernière je ne says pas. Mais nous avons une douzaine d’heures pour la trouver."
- Oh, ça fait pas beaucoup !
- Je ne vous le fais pas dire...
- Et on va où ?
- Vous avez le téléphone ?
vEnys
- Vous aviez rien de plus original qu’un repère de rouges ?
- Vous, taisez-vous. Si vous aviez pas bu la bouteille on en serait pas là.
- Non mais je veux dire, un repère de rouges on voit ça tout le temps. Manquerait plus que vous ayez une femme qui bosse pour eux et ce serait la cerise qui rend le gateau écoeurant...
- Chut, vlà les gardes.
- Eh ben tiens, des gardes. Cliché tout ça. Je retourne à la voiture.
- ASSISE ! Vous allez nous faire repérer.
Les gardes passent tranquillement devant la grosse boîte aux lettres de la Poste Impériale désormais inutilisée qui cache le Doge et sa blonde compagne. Il fait nuit, les rues sont mal éclairées et des tas de détritus jonchent le sol. Venys n’est plus ce qu’elle était. Au-dessus de leur tête, les deux comparses entendent le léger grésillement de l’ampoule du lampadaire prête à rendre l’âme. Puis c’est l’obscurité.
- La chance est avec nous, /murmure Hector, pas si confiant que ça /- Moui... On dit ça...
- Soyez discète. Sur la gauche, il y a une entrée du réseau du métro. J’espère que vous avez gardé votre abonnement.
La rue est toujours aussi déserte tandis que les jeunes gens la traversent. Au premier étage d’un immeuble voisin la lumière vient de s’allumer. On distingue un plafond orné de dorures. En certains endroits la pierre est apparente, l’enduit ayant souffert lors de l’invasion merksystes. Puis la descente dans la statyon du métro. De vielles publicytés sont encore placardées, quelques affiches de la dernière campagne Dogéale aussi, jaunies par l’humidité.
- C’est vous là ?
- Oui, je suys beau n’est-ce pas ?
- Vous avez les cheveux très courts sur cette photo, ça ne vous va pas terrible.
- Oui, mays autrement ?
- Moui... Enfin vous êtes pas photogénique en tout cas, et c’est le moins qu’on puisse dire... On prend le métro ?
- Je doute qu’il soit encore en fonction. Il va falloir nager.
- Jusqu’où ?
- Deux Mah-Go. Le Réseau m’a dit que la bouteille se trouvait dans une cave isolée. Une sorte de coffre fort.
- Et on entre comment ?
- Je ne sais pas encore, une malette devrait nous attendre dans les tunnels.
- Et ces trucs là, c’étaient des lustres ?
- Oui évidemment. Vous n’avez jamais pris le métro à Venys ?
- Jamais, c’est une première pour moi. Pourquoi vous disiez qu’on allait nager ?
- Les wagons étaient des gondoles flottant sur un mini circuit d’eau propulsée. Vous pouvez toujours essayer de marcher ! Mais dans l’eau c’est assez peu judicieux.
Hector D’Ysciple , 05/12/an IV 17:04
VENYS (vous m’excuserez, j’ai la flemme de lancer Thunderbird)
- Hector, ce ne serait pas pour nous ce colis qui flotte là-bas ?
- Lidoine, vous avez une sacrément bonne vue ! Oui, je reconnais le logo de la MAFIArchipel, c’est surement pour nous.
Les deux comparses nagent quelques mètres et atteignent enfin le packet flottant. Ils le poussent jusqu’à la berge de service et l’ouvre. A l’intérieur, une carte magnétique, un téléphone portable dernière génération (de ceux où l’on peut regarder les clip des chanteuses abéryscaine quelque soit l’endroit où l’on se trouve) et un petit stick fin avec une petite diode verte à l’un de ses extrémité.
- Hector, vous savez à quoi sert toutes ces choses ?
- Ce n’est pas vous l’agente de Sainte Gracque ?
- Si mais... Vous savez, je suis nouvelle, je n’ai pas encore tout vu.
- Pour commencer, cette carte est un modulateur de voix. Pour pénétrer dans la cave des Deux Mah Go, il faudra prononcer le mot code "Zlaïtovsky", ça veut dire "chien galeux d’arystocrates yssois, j’aurais votre peau, puissiez vous brûler dans l’enfer françoivillonien pour des siècles et des siècles"...
- C’est une langue très...
- Concise, oui, je vous l’accorde. Ce téléphone portable, est un palpateur-restitueur d’empreintes digitales. On en aura besoin pour ressortir. Espérons que Pou n’a pas nettoyé le caveau sinon on risque d’être bloqué à l’intérieur et d’attendre fort longtemps.
- Et le stick ?
- Ca c’est une surprise que je réserve aux Merksystes-Chysno-Lunynyste.
- Et maintenant ?
- Prenez le premier tunnel sur votre droite.
quelques minutes plus tard Hector D’Ysciple et Lidoine de Valocène ont quitté les souterrains du métros pour rentrer dans les égoûts venyssois. Egoûts qui n’ont jamais été aussi propres depuis que l’eau courante a disparue de Venys. Dans le tunnel sombre, une porte rouge fait contraste, ornés de dragons et autres figures de la culture chysnoises. C’est horrible, mais ça a le mérite d’être visible et parfaitement reconnaissable.
- Lidoine, vous m’attendez ici, j’en ai pour quelques minutes.
- Dépêchez-vous, on vient nous chercher dans moins d’une heure et Lalande n’est pas du genre à nous attendre longtemps... Eh, regardez, un paquet là-bas.
Lidoine s’en approche, l’ouvre de ses petits doigts agiles et en sor deux paires de patins à glace au design tranchant.
- Hector, c’est quoi ce truc ?
- Vous verrez tout à l’heure.
Et Hector s’engouffre dans les Deux Mah Go tandis que Lidoine commence à s’amuser avec un petit élastique qu’elle vient de trouver par terre
Eh-Rod
Jean-François Lalande commence à s’impatienter. Il a réussit à emprunter le pédalo consulaire mais si ses passagers tardent encore, cela risque d’être remarqué à Nautia.
Et voilà Hector et Lidoine qui apparaissent enfin. Ils prenent place et le voyage commence.
_talamanca _
Hector a fini a la nage pendant que Lidoine ramenait discrètement le pédalo au consulat. Le Doge a fait un petit détour par Lédao où Tyrésias de Paxatagore lui a prêté des vêtements secs.
Le voilà maintenant devant le consulatn sa bouteille à la main.
Il frappe.
Il attend...
Quelqu’un ouvre...
- Hector ! Quel plaisir de vous revoir !
- Maxime ! J’ai bien cru que je ne vous reverrais jamais !
- Que dîtes-vous donc ?
- Oubliez. J’ai un cadeau pour vous. Je vous l’avais promise. Une bouteille d’Absynthe Chateau-Dragon 78.
Lidoine de Valocène , 05/12/an IV 23:31 Talamanca
Lidoine : -Heu, dans sa précipitation, cher consul de Nautia, Hector a oublié de vous dire en vous donnant la bouteille "Avec les félicitations de la MAFIArchipel, El Maximo !". Quoi il l’a dit ?
Hector la regarde, navré !
L : - Hector, pressons, n’oubliez pas que nous devons rentrer à Eh-Rhod, vous avez du travail là bas !! Vous parlerez avec votre ami plus tard
H : - Euh, oui mais comment rentre-t-on ?
L : - Je sais pas, tenez, M. le Consul, vous ne connaitriez pas un moyen rapide et discret de renter ?
M : - Je sais pas moi, attendez, je peux vous prêter le pédalo consulaire !!
L : - Charmant, j’ai toujours révé de faire un voyage la dessus ! Il y a une douche dans les cabines ?
H : - Mais enfin Lidoine, nous venons de ... Hector se tait devant les gros yeux de la jolie blonde !!
H : - Ah euuuuh, oui, excellente idée le pédalo !
M : - Bien, nous devons nous quitter, ca tombe bien j’ai du boulot en cours, au revoir, Hector, au revoir Mademoiselle.... Vous trouverez bien un grouillot dans le Consulat pour vous mener jusqu’au Pédalo !
Lidoine de Valocène